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Le problème est que les Fran?ais ont parfaitement compris que la crise est profonde et durable. Ils redoutent donc, logiquement, que l'amère potion fiscale de 2013 ne soit que la première [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] dose d'une cure d'austérité beaucoup plus sévère.
et du prophète Mahomet a, en effet, partagé la France en deux.
Comment pourrait-il en être autrement quand, par exemple, les 16 millions de retraités entendent la Cour des comptes, dans son rapport annuel sur la Sécurité sociale, l'inventaire des avantages spécifiques [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] dont ils bénéficient (abattement de 10 % sur les pensions au de l', taux nul ou réduit de CSG, non-imposition des majorations de pensions pour les personnes ayant élevé trois enfants ou plus, très faible taux de cotisation à l'assurance-maladie...), et de "les progressivement", au motif que le niveau de vie des retraités a rattrapé, voire dépassé celui des actifs.
Ce n'est pas le lieu, ici, d' dans les controverses que suscite ce postulat, d'autant que le ministre de l'économie, , a immédiatement refermé le dossier [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] : "Les retraités ne seront pas davantage taxés", a-t-il tranché, dimanche 23 septembre. Dont acte pour 2013. Mais ensuite, si la croissance continue à être aussi atone ?
On l'aura compris, le chroniqueur ici présent se range sous la seconde bannière. Entre un dessin, f?t-il choquant, et [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] l'intolérance, l'anathème, voire la fatwa meurtrière, le choix s'impose.
Le doute n'est pas là. Mais dans le sentiment insistant que le gouvernement continue à , et face à la question cruciale et au mot qui [url=http://www.mansmanifesto.com]www.mansmanifesto.com[/url] f?che : rigueur or not rigueur - et pour quoi ? Au risque de la sans l' clairement. Ou, au contraire, de l' sans la réellement, comme l'a laissé le président de l'Assemblée nationale, Claude Bartolone, en qualifiant d'"intenable" l'objectif solennel de le [url=http://www.rivaluta.it/css/moncler.html]moncler outlet[/url] déficit public à 3 % du produit intérieur en 2013.
D'un c?té, une rhétorique parée des vertus de la sagesse : "La liberté d'expression est un principe fondamental, mais..." Mais ces dessins constituaient une provocation inopportune, irresponsable, voire dangereuse, de nature à les musulmans et un peu plus les intégristes de tout poil.
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De l'autre, la dialectique inverse, rustique à souhait : "Les caricatures de sont peut-être nulles et malvenues, mais..." Mais la liberté de est un principe démocratique trop essentiel pour d'autre limite que la loi. Non la loi de droit divin, contre laquelle s'est construite la République depuis deux siècles, mais la loi de droit humain.
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Mauvais , diront nos grands argentiers, chiffres à l'appui. De fait, l'effort programmé est sans précédent : 10 milliards d'euros de réduction de dépenses de l'Etat, dont les ministres ont fait [url=http://www.mansmanifesto.com]doudoune moncler[/url] le douloureux constat au fil des négociations estivales ; et 20 milliards d'augmentations d' (ou de réductions d'avantages fiscaux, ce qui revient au même), qui viendront s' aux 7 milliards déjà actés par le collectif budgétaire de juillet et devraient être répartis par moitié entre les (grandes) et les ménages (aisés ou riches).
Rien d'existentiel dans tout cela, dira-t-on. Les peuples sont rarement heureux et les responsables ovationnés en temps de crise. En outre, personne ne peut prétendre être surpris : l'effort attendu avait été clairement énoncé, dans son principe, par le candidat Hollande durant sa campagne ; puis confirmé et chiffré dans ses grandes masses, le 9 septembre, lors de son intervention télévisée.
Les Fran?ais semblent saisi la nécessité de du piège de la dette publique. Ils sont sans doute prêts à la discipline qui en résulte, à condition qu'elle soit justement répartie. Mais ils n'ont toujours pas compris comment le président entend le pays de l'ornière où il est enlisé, qui ne se résume pas à son déficit public. C'est ce doute-là, existentiel en quelque sorte, qu'il faut . La confiance est à ce prix.
La majorité parlementaire ? Elle est ébranlée par les états d'?me des écologistes, ces enfants g?tés, devant le traité européen de stabilité. La courbe du ch?mage, thermomètre numéro 1 des [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] inquiétudes des Fran?ais ? Elle aura irrémédiablement passé la barre [url=http://www.rivaluta.it/css/moncler.html]moncler sito ufficiale[/url] des 3 millions de demandeurs d' en [url=http://cgi.ebay.com.au/ws/eBayISAPI.dll?ViewItem&item=140751927900]woolrich parka Obtain The Rig[/url] France métropolitaine au mois d'ao?t. Pour le tout, le projet de budget pour 2013 qui sera présenté, vendredi 28 septembre, repose sur un vigoureux effort de réduction du déficit public et un spectaculaire tour de vis fiscal.
La semaine qui s'engage ne sera pas moins existentielle, pour le président de la République. Cinq mois à peine après son élection, tous les indicateurs sont au rouge. La confiance du pays ? Elle n'a pas résisté à l'été. Toutes les enquêtes réalisées depuis début septembre témoignent que est passé sous la barre des 50 % d'opinions positives (de 49 % pour LH2 à [url=http://www.vill.tabayama.yamanashi.jp/cgi-def/admin/C-002/bb1208/visit/main.pl?PAGE_NUM=1]outlet hogan Ways In Which Yo[/url] 40 % pour BVA, [url=http://www.qzwqguppy.com/home.php?mod=space&uid=31548][/url] en passant par 44 % pour Ipsos et 43 % pour Ifop et CSA).
Surtout au moment où , qui n'est pas le plus mal placé pour en , assure dans les colonnes du Monde des livres : "J'ai décidé de ne plus jamais m'auto-intoxiquer en espérant un compromis avec des qui n'en autorisent aucun", et invite au courage de "protéger la liberté d'expression, dont dépendent toutes les [url=http://www.getconversational.com]hollister pas cher[/url] autres libertés". Rien à entre l'auteur des Versets sataniques et de misérables caricatures ? Rien à , en effet. Sauf un principe. Cardinal. Non négociable.
De même, chacun a bien entendu un engagement solennel, dans un [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] entretien à Mediapart, le même jour : "Nous n'augmenterons jamais la TVA ni la CSG pour les trous du budget de l'Etat." Mais ils sont alors en droit de s' : le premier ministre ne joue-t-il pas sur les mots ? De quels autres leviers le gouvernement dispose-t-il, en effet, pour rétablir rapidement la compétitivité des entreprises fran?aises, dont la dégradation depuis dix ans handicape lourdement les performances du pays ?