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doudoune moncler Obama nest plus Noir (en apparenc

 
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cleoy6v2y




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PostWysłany: Pią 17:23, 06 Wrz 2013    Temat postu: doudoune moncler Obama nest plus Noir (en apparenc

Il suffisait de le [url=http://www.waterhouselab.com/doudounemoncler/]doudoune moncler[/url] public réuni lors des meetings électoraux des deux candidats pour la profondeur du clivage politico-racial : un parterre presque uniformément blanc c?té Romney, une foule bigarrée chez Obama. Les résultats électoraux, amplement commentés, reflètent la réalité de ces deux Amérique tout en la tempérant. Certes, Barack Obama n'aurait pas été élu sans le vote massif des minorités en sa faveur. Certes, il n'a recueilli que 39 % des voix des électeurs blancs (contre 59 [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich outlet[/url] % [url=http://www.waterhouselab.com/louboutinpascher/]louboutin[/url] pour Romney). Mais est-ce en raison de la couleur de sa peau ou de ses positions politiques ? Après tout, seuls 41 % des Blancs avaient voté pour [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey prezzi[/url] le démocrate John Kerry, le perdant de la présidentielle de 2004. L'idée, avancée par le commentateur politique noir conservateur Shelby Steele, selon laquelle Obama n'avait gagné en 2008 que gr?ce à son habileté à le complexe de culpabilité des électeurs blancs à l'égard du sort des Noirs, est désormais difficile à .
Stephen Hahn, professeur d'histoire à l'université de Pennsylvanie, voit dans "l'intérêt obsessionnel des deux partis pour le sort de la middle class, catégorie généralement assimilée aux Blancs, un langage codé destiné à leur refus résolu de s'intéresser à la pauvreté et à la marginalité (...) grandissantes des Noirs et des Latinos". Mitt Romney ne s'est pas toujours embarrassé de tant de circonlocutions. En ao?t, lors d'un meeting, il n'a pas hésité à un gros clin d'oeil aux électeurs blancs persuadés que le président n'est pas un vrai Américain : "Personne n'a jamais demandé à mon acte de naissance, a-t-il lancé. On sait que c'est ici que nous sommes nés et que nous avons grandi."
L'image de père de modèle que cultive Obama, en contredisant le cliché du Noir abandonnant son foyer - qu'il a vécu dans son enfance -, contribue aussi à ses origines aux yeux des électeurs blancs et à les catégories raciales. Mais cette attitude du président est per?ue comme une manifestation de conservatisme [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] par la gauche tandis que ses discours sur la responsabilité familiale peuvent appara?tre agressifs à l'égard des Noirs. "Pour ces critiques, il détient un formidable atout : la popularité de son épouse Michelle [une [url=http://www.lcdmo.com/hollister.php]hollister france[/url] descendante d'esclaves, contrairement à lui], ajoute Orlando Patterson. Les Noirs qui ne sont pas fans d'Obama le sont de Michelle." D'où les 93 % du vote noir en sa faveur.
Ce qui en 2008 avait constitué un événement historique planétaire, un demi-siècle seulement après la fin de la ségrégation raciale, est passé presque inaper?u. Comme si l'affaire était entendue. Comme si, en accéléré, la société américaine avait franchi une nouvelle étape vers l'effacement du facteur racial dans la vie , vers la banalisation d'une élection colour blind (qui ne tient pas compte de la couleur). A moins que cet assourdissant silence ne masque de nouvelles ruses dans l'art américain d'euphémiser le racisme. Ou que cette extraordinaire avancée ne fasse que modérément l'affaire de ceux qui, parmi les Noirs eux-mêmes, entendent partie de leur statut de victime.
La phrase ciselée, voire ambigu?, prononcée en mars 2012 par le président après le meurtre du lycéen par un vigile dans un lotissement en Floride - "Si j'avais un fils, il ressemblerait à Trayvon" - synthétise sa volonté de s' à tous les Américains sans explicitement la question raciale. Au risque de l'opinion des Noirs selon laquelle il n'en fait "pas suffisamment pour eux". "La prudence dont il fait preuve montre combien la question raciale demeure explosive", estime Randall Kennedy.
LES MILIEUX PROGRESSISTES INQUIETS
Orlando Patterson explique : "Des observateurs ont prétendu que n'importe quel démocrate aurait gagné en 2008, vu l'état de l'économie. Sa réélection en 2012 avec une majorité de suffrages populaires [ce qui n'est pas nécessairement le cas, étant donné l'organisation du vote Etat par Etat] confère à l'événement une autre signification. Obama n'a pas pu être élu à deux reprises par hasard. L'accès des Noirs à des postes de responsabilité politique ne pose plus de problème aux Américains. La réélection confirme l'intégration complète des Afros-Américains dans la sphère publique. Dans la sphère privée, en revanche, notamment en matière de , on en est loin. Quant à la surincarcération des Noirs, c'est une énorme faille présidentielle."
L'Amérique d'Obama II sera-t-elle post-raciale ? L'idée inquiète plut?t les milieux progressistes pour qui cette perspective, illusoire à leurs yeux, n'est qu'un prétexte agité par les républicains pour préparer l'abandon des lois antidiscriminations. Pourtant, le métis Obama, nolens volens, contribue à les frontières raciales. Prudente stratégie politique ou convictions héritées de son histoire personnelle ?
"D'un c?té, on a 20 % d'Américains qui ne voteront jamais pour un Noir. De l'autre, on sait que des électeurs du Sud peuvent désormais sans problème pour un Noir conservateur !", nuance Orlando Patterson, en référence à Herman Cain, ex-patron d'une cha?ne de [url=http://www.msc-sahc.org/moncler.asp]doudoune moncler[/url] pizzas, noir et ultraconservateur, qui avait fait un lors de la primaire républicaine.
Peu importe : Obama I a conduit son pays vers une perception plus universaliste et moins communautariste des questions politiques et sociales. Le premier président noir des Etats-Unis aura accéléré une évolution de type postracial. D'application générale, sa loi sur l'assurance-maladie, finalement validée par la Cour suprême, va , sans affichage racial explicite, aux plus pauvres et singulièrement aux minorités. La montée démographique des "non-Blancs", le poids croissant des Latinos auquel il doit aussi sa réélection, sa propre crédibilité politique mais aussi sans doute une vision de l' du pays : tout encourage Obama II à dans cette voie.
Pourquoi pareille avancée est-elle si peu reconnue et commentée depuis le vote du 6 novembre ? "Chez les intellectuels de gauche, il était de bon ton de se déclarer dé?u par Obama. Depuis sa réélection, ils mesurent mieux ce à quoi il nous a permis d'échapper, sans pour autant être d'humeur à célébrer l'avancée sur le plan racial, analyse Orlando Patterson. Quant à l'élite afro-américaine, elle est dé?ue par le faible nombre de Noirs que nomme le président."
"A l'évidence, la seconde élection d'Obama a été accompagnée de bien moins d'anxiété que la première : on ne devient le premier président noir qu'une fois !, remarque , professeur de droit à Harvard respecté pour ses sur la question raciale. Le fait qu'un Noir ait été réélu est d'une importance immense pour le pays [Barack Obama est, avec Bill Clinton, le seul démocrate a été réélu depuis 1945]. Mais cela ne signifie pas que la question raciale soit dépassée. Une partie importante de la férocité des opposants au président s'explique par le fait qu'il est noir. Paradoxalement, c'est pour lui un facteur qui favorise la mobilisation des minorités et un handicap vis-à-vis de certains Blancs. Dans cette élection, le racisme n'a pas joué un r?le décisif, car Obama est parvenu à dépasser [url=http://www.waterhouselab.com/doudounemoncler/]doudoune moncler pas cher[/url] la question de la couleur de peau."
DES PR?JUG?S RACIAUX TENACES
Une réalisée fin 2012 par l'agence indique d'ailleurs que les préjugés raciaux n'ont nullement diminué pendant le premier mandat d'Obama. Au total, 51 % des Américains expriment des sentiments hostiles aux Noirs, contre 48 % [url=http://www.orlando-apts.com/nfljerseys/]cheap nike nfl jerseys[/url] quatre ans plus t?t.
"Cette réélection constitue un énorme tournant dans la vie publique américaine : elle confirme un changement considérable dans l'attitude des Américains en matière raciale. Aucun pays au monde à majorité blanche n'a atteint ce degré d'intégration, ni en ni au Brésil, s'enthousiasme , [url=http://www.getconversational.com]www.getconversational.com[/url] professeur de sociologie à l'université Harvard, d'origine jama?caine et spécialiste des relations ethniques aux Etats-Unis. En 2008, beaucoup de gens, en particulier des intellectuels noirs, ont pensé qu'Obama avait gagné du fait d'un concours de circonstances."
S' ? TOUS LES AM?RICAINS
Tout a été dit sur la réélection de , dont le second mandat débute officiellement lundi 21 janvier. La performance d'un président résistant à la crise économique, la victoire du réformateur modéré sur , conservateur sans panache, l'efficace mobilisation d'une coalition informelle jeunes-femmes-Noirs-Latinos. Tout sauf peut-être l'essentiel : les Américains ont réélu, sans drame et presque sans y prêter d'attention particulière, un Noir.
UN "?NORME TOURNANT"
Bien des réalités de la campagne tendraient à modérer cette vision optimiste. Si la question raciale n'y a jamais été abordée explicitement, elle a été présente à travers de nombreux biais. La stigmatisation par les républicains du food stamp president ("président de l' sociale") était une fa?on d' Barack Obama à un assistanat d'Etat dont les Noirs seraient les principaux bénéficiaires. La multiplication, depuis 2010, dans les Etats gérés par les républicains, des lois soumettant le droit de vote effectif à la production de documents d'identité dont les pauvres et singulièrement les Noirs sont dépourvus visait à l'évidence (mais [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour outlet[/url] en vain) à la participation de ces derniers.
La fa?on subtile dont le président s'est systématiquement gardé d'appara?tre comme un président noir ou des Noirs "a été extrêmement salutaire dans la perspective d'une déconstruction des catégories raciales, même si cela en a frustré certains dans la communauté afro-américaine, souligne é, professeure d'études africaines à l'Université de l' York. La [url=http://www.orlando-apts.com/nfljerseys/]cheap nfl jerseys[/url] portée politique de l'identité reste si forte dans la société américaine que le pays n'est pas capable de l'homme et sa couleur de peau. Mais la réélection d'Obama rend possible un différent, où l'on peut sans considération de la couleur. Obama permet le passage vers cette situation nouvelle."

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