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UNE COMP?TENCE ABSOLUMENT N?CESSAIRE
De fait, comme les écoles, les universités (en particulièrement) se sont mises à [url=http://www.teatrodeoro.com/hollisterde.php]hollister deutschland[/url] l'anglais. "Aujourd'hui, ajoute M. Braquelaire, nous disposons de plusieurs programmes dans lesquels l'anglais est partie intégrante. Et nous avons créé, il y a un an, un [url=http://www.mentalhealthwyoming.com/index.php?/member/157849/]jordan pas cher Shipping Containers For Sale - Eve[/url] cursus d'excellence destiné à des promos d'une vingtaine d'étudiants par année de licence. Des unités d'enseignements supplémentaires 100 % en anglais ont été instaurées."

Même constat pour . Elève de l'école de commerce Skema, il est à , en stage dans un cabinet d'avocats. "Quand je suis arrivé ici, je ne comprenais rien, confie-t-il. J'apprends sur le tas, à force de m'entra?ner." Pour lui comme pour , le problème remonte au secondaire. "On arrive au bac sans anglais, dit-il. A Skema, lorsque nous avons commencé le cours de en entreprise, [url=http://www.riad-marrakesh.fr]abercrombie[/url] en anglais, l'incompréhension était telle [url=http://www.teatrodeoro.com/hollisterde.php]hollister[/url] que le professeur, une Américaine, a d? au fran?ais. Et pourtant, elle le parlait mal..."
Pressés par une internationalisation incisive, les établissements savent que leur dépend de leur capacité à les meilleurs professeurs et les étudiants les plus brillants, notamment en provenance des pays émergents. C'est d'ailleurs cet argument que Mme Fioraso met en avant : "L' compte un milliard d'habitants, mais nous n'accueillons que 3 000 étudiants indiens en France. Nous sommes ridicules. L'une des raisons est qu'il n'y a pas assez de cours en anglais."
"A la sortie du secondaire, le niveau est marqué par les origines sociales des élèves et il n'est pas très brillant, confirme , président de la CGE et directeur général [url=http://www.diecastlinks.co.uk]hollister uk[/url] de l'Essec. C'est donc un long chemin que nous devons faire à nos étudiants. La ma?trise de la langue de circulation internationale est en effet une compétence absolument nécessaire. travailler, négocier et en anglais est un élément de compétitivité majeur pour notre pays."
?Les étudiants fran?ais seront-ils capables, un jour, de s' correctement en anglais ? L'une des dispositions du projet de loi sur l'enseignement supérieur de la ministre Geneviève Fioraso les y aidera peut-être. L'idée est de le développement des cours de langue dans l' en assouplissant la loi du 4 ao?t 1994 (dite "loi Toubon"). L'ajout de deux nouvelles dérogations peu contraignantes (accord avec une université étrangère, programme européen) fait un verrou.
S'ils ne sont donc pas les [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] premiers visés, les étudiants fran?ais ne pourront que de l'effort fourni. Directrice marketing d'une start-up dans le secteur de la maroquinerie de , Nathalie Bocquet a étudié à l'université, puis à l'Edhec. C'est dans ce cadre qu'elle a effectué en 2008 six mois de stage à Londres. [url=http://www.fibmilano.it]woolrich outlet[/url] "Je suis arrivée là-bas avec la peur au ventre, raconte-t-elle. J'avais un mauvais niveau et je ne [url=http://www.sidegemeinde.com/peutereyoutlet.php]peuterey sito ufficiale[/url] me sentais pas préparée par mon école, encore moins par la fac, à [url=http://cooksonconsulting.com/comment-page-1/]woolrich outlet A Homs, les soldats veulent laisser un champ[/url] la parole en public." Le degré d'exigence de l'Edhec est pourtant élevé. "Les étudiants bachotent et finissent par l', explique-t-elle. Mais, confrontés au monde professionnel, on se rend compte de nos lacunes."
Mais le secondaire n'est pas seul en cause, admet , directeur de la formation initiale à Télécom Paris-Tech. "Il faut, dit-il, [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie soldes[/url] tenir compte de la compétence des enseignants. Tout le monde n'est pas capable de des cours en anglais et certaines matières nécessitent [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] de [url=http://www.stones-garden.com/cgi-bin/o/s/a.cgi]louboutin Cheap Smallest Amou[/url] en fran?ais, par souci de précision dans la terminologie, de justesse dans le propos."
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Certes, l'anglais s'est déjà beaucoup développé, notamment dans les grandes écoles. "Entre un [url=http://www.thehygienerevolution.com/hollister.php]hollister france[/url] quart et un tiers des cours" y sont dispensés en anglais, estime la Conférence des grandes écoles (CGE). Et certains établissements, comme l'Insead (qui ne délivre que des Master of , MBA) ou l'Ecole d'économie de Paris (master et doctorat), n'utilisent que l'anglais.
LES MEILLEURS PROFESSEURS
L'argument est double face. "L'anglais n'est pas un frein pour nos équipes pédagogiques, estime , vice-président du conseil des études [url=http://www.riad-marrakesh.fr]abercrombie pas cher[/url] et de la vie universitaire de l'université Bordeaux-I. En tant que chercheurs, les enseignants sont habitués à cette langue. Les publications scientifiques se font en anglais, de même que les interventions en conférences."