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peuterey Marc Valleur (psychiatre) La violence

 
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cleoy6v2y




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PostWysłany: Wto 6:02, 24 Wrz 2013    Temat postu: peuterey Marc Valleur (psychiatre) La violence

Pourquoi les enfants ne sont-ils pas victimes de [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] la dépendance aux jeux vidéo ? Seuls les adultes peuvent accros ?


Peut-on établir une comparaison entre addiction aux jeux vidéo, à l', au , à la drogue ou aux d'argent ?

Contrairement à ce que l'on pouvait à l'apparition des jeux, je n'ai pratiquement jamais rencontré ce type de cas. Les joueurs savent qu'ils jouent. Ils ne sont ni psychotiques ni schizophrènes. Ils savent très bien la différence entre les deux mondes. Le problème, c'est que certains préfèrent cet univers au monde réel.

Les jeux vidéo répondent principalement à deux fonctions. La fonction cathartique, que l'on accorde au thé?tre depuis Aristote, permet de représenter hors de soi tous ses conflits intérieurs et d'en purifié. Dans le grand public on appellerait cela du "défoulement". Les FPS répondent à cette fonction et c'est pour cette raison qu'ils sont nécessairement violents. La seconde fonction correspond au refus, à l'abri, à la rêverie. Là encore, on va échapper aux contraintes de la réalité. Le jeu devient un univers de liberté. Il est donc important que des jeux "antiréalistes" - où les lois de l'apesanteur sont supprimées, où l'on peut et - existent. Les différents types de jeux correspondent à de vrais besoins de l'être humain, comme parfois la littérature, le ou le thé?tre.

Toutes les dépendances ont des aspects positifs. Il est meilleur pour les jeunes, dans les moments de doute, de des jeux vidéo plut?t que des drogues ou de l'alcool. En soi, la dépendance n'est pas la pire chose qui puisse . Le jeu vidéo exerce les neurones et a un petit effet préventif sur la dégradation des capacités avec l'?ge. Il ne faut cependant pas exagérer l'aspect culturel des jeux vidéo, secondaire [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie[/url] dans la plupart des cas.

Vous comparez l'effet hypnotique des jeux d'action au tabagisme. Pourquoi ?
Dans le cas des jeux massivement multijoueurs, on se situe dans une [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] dynamique quelque peu différente. La plupart des joueurs cherchent à un univers parallèle, des aventures au long cours. Si l'on fait un parallèle - certes métaphorique - avec les drogues, ce serait avec l'opiomanie du XIXe siècle. Le problème de ce type de jeu, c'est que le monde continue malgré l'absence du joueur. Il devient une alternative de vie, avec de vrais échanges, de vraies personnes et constitue un refuge par rapport à une existence faite d'énormes pressions. Et cela peut très obsédant. Les joueurs de jeux d'aventure en [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]boots ugg pas cher[/url] univers persistant constituent d'ailleurs la majorité de mes consultations.
L'addiction aux jeux vidéo engendre-t-elle une véritable souffrance ?

A du moment où elle existe, où elle est reconnue, la vraie souffrance réside dans [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti sneakers[/url] le constat de la difficulté à ses marques dans le monde réel. Le temps perdu, la honte et la culpabilité engendrent une vraie souffrance. Celui qui a passé plusieurs nuits sans se retrouve parfois comme l'alcoolique avec sa "gueule de bois".

Où se situe la frontière entre un joueur régulier, passionné et accro ?
Il est très difficile de un chiffre. A ma connaissance, de vraies statistiques en la matière n'ont pas été établies. Un pourcentage circule sur le Net : 5 à 10 %. J'ai commencé mes consultations sur les jeux vidéo il y a deux ans face à une demande croissante. Aujourd'hui, je re?ois environ 50 patients par an.

, médecin-chef de l'h?pital Marmottan à Paris, spécialisé dans le traitement des toxicomanies et des conduites addictives, coauteur avec de "Sexe, passion et ".



Je vois les gens régulièrement. Les jeux vidéo constituent une problématique très réactive aux thérapies. On se trouve loin des grandes toxicomanies où l'on compte les évolutions sur des dizaines d'années. Les jeux d'argent et de hasard entra?nent des conséquences lourdes comme le surendettement ou la dépression. Dans le cas des jeux vidéo, on constate des évolutions très nettes dès le 3e mois. Le seul fait de un rendez-vous et de en est déterminant. Souvent très seul avec leur pratique, les joueurs n'échangent que sur les et n'en parlent que rarement en dehors du monde des joueurs. Ils repartent avec une autre manière de les choses, premier pas vers le changement.
Existe-t-il différentes catégories d'accros aux jeux vidéo ?
Sur l'ensemble des joueurs, quelle est la proportion de personnes dépendantes ?
Un mot d'ordre : ne pas les diaboliser sans être pour autant angélique. Le SELL (Syndicat des éditeurs de logiciels de loisir) doit être vigilant. Il ne faut pas se d'?ge sur les jeux vidéo. Je suis convaincu que la violence est nécessaire dans le jeu vidéo, mais il est important de ne pas n'importe quel jeu entre n'importe quelles mains.
Propos recueillis par Stéphanie Chemla


Les jeux vidéo rendent-ils violents ?
On ne peut de dépendance dans l'enfance, du moins d'une dépendance qui provoquerait de la souffrance, laissant le jeu totalement l'existence. Un enfant en situation de dépendance serait probablement un enfant abandonné, livré à lui-même. Par contre, des personnes de 40-50 ans peuvent dans le jeu et, particulièrement, quand elles traversent des périodes de rupture affective, de ch?mage, d'argent, de doutes existentielles. [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] Certaines catégories sont plus exposées : ingénieurs informatiques ou personnes utilisant Internet comme outil de travail. On commence pour le temps, un peu comme si on allait un verre au bistrot avec des amis avant de , petit à petit, dans l'alcoolisme. La majorité des patients sont des personnes de classe moyenne, cultivées, bien insérées socialement.

Existe-t-il une forme de dépendance positive ?

Ce qui définit la dépendance, c'est la volonté d'arrêter lorsque les gens pensent que cela leur pose des problèmes, empiète trop sur le reste de l'existence, gêne les relations affectives, ou l'investissement dans le travail. La frontière entre normalité et dépendance est parfois très complexe. De vrais passionnés peuvent être des hard gamers, huit heures par jour sans que cela leur pose de problèmes. Dans ces cas-là, on n'est pas habilité à de [url=http://demo1.phpdb.net/2047/news/html/?9250.html]tiffany Quantum FX Bot Review - Should You Get The Quantum FX Bot Download[/url] dépendance au sens psychiatrique du terme, dans la mesure où il [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] n'y a pas [url=http://hongdou66.com/news/html/?62831.html]barbour outlet Reasons You Must Look Into Archive Storage Wrexham For Back-up[/url] de demande ni de souffrance. Il s'agit d'une activité assumée. Particulièrement bons au jeu et reconnus dans le milieu, les hard gamers jouent pour le plaisir que cela leur procure. Généralement ambitieux, ils ont envie d'être reconnus comme des leaders, mais n'ont pas cette possibilité dans leur vie quotidienne. Dans le jeu, [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] ils trouvent une gratification beaucoup plus rapide.

Pour les personnes dépendantes, la frontière entre monde virtuel et réalité est-elle toujours floue ?



Dans la communauté scientifique, il est admis [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] que la dépendance est la rencontre entre une personnalité, un produit, un moment socioculturel. Cela est valable pour les dépendances aux comme pour les dépendances sans drogue avec une question subsidiaire dans le deuxième cas : le produit en cause. Si l'on prend les hypothèses biologiques, dans la aux drogues, le produit sera la coca?ne, l'héro?ne, le crack. La personnalité correspondra à de forts chercheurs de sensations, des personnes traumatisées dans leur enfance, issues de familles perturbées dans des milieux défavorisés. Dans le cadre des jeux d'argent de type machine à sous ou de jeux vidéo de type FPS [jeux de [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk outlet[/url] tir avec vue à la première personne], on peut que [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie milano[/url] le produit serait l'adrénaline. Les joueurs de FPS se livrent à une activité très proche d'une activité sportive, qui entra?ne concentration et émotion, forte et fréquente.


Je ne crois pas qu'ils aient le de violents des gens qui ne l'étaient pas. Certains jeunes utilisent les jeux vidéo pour leur violence. Il en va [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti pas cher[/url] de même pour le , la ou le punching-ball. On conseille à des enfants remuant de des jeux, les plus violents possibles pour se défouler. Quand cela ne suffit pas à cette violence, elle déborde. En aucun cas, la pratique du jeu ne les aura rendus violents. Il ne faut pas se de cause et d'effet.


Faut-il diaboliser les jeux vidéo ?
Je me réfère surtout aux jeux mécaniques (Tetris, réussite) que l'on pratique presque sans s'en compte, auxquels on joue tous du moment que l'on a un ordinateur, un palm ou un téléphone. On se retrouve dans une habitude qui ressemble au tabagisme : elle permet de le temps quand on n'a rien à , [url=http://park1.wakwak.com/~flyfisher/cgi-bin/zz7/joyful.cgi]ugg pas cher Sch uble voudrai[/url] dans des situations un peu subies, comme le métro. On s'occupe les mains, la pensée vagabonde, mais cela ne demande pas un grand investissement.
Comment soignez- cette addiction ?


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