www.philosophiaupjp2.fora.pl

cleoy6v2y

"En allant aux urgences, le patient exige un [url=http://www.agentparadise.com]woolrich outlet[/url] service rapide", témoigne également Mme Assez. Or, le temps d'attente peut y être très long. Si votre pronostic vital n'est pas engagé, qu'importe que vous soyez le [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie[/url] premier [url=http://www.shewyne.com/woolrichoutlet.html]woolrich outlet[/url] arrivé, tous les cas jugés plus graves passeront [url=http://www.teatrodeoro.com/hollisterde.php]hollister deutschland[/url] devant . Et l'impatience née de cette attente peut déclencher des comportements violents.
Autre facteur : le stress, l'angoisse et la peur de la maladie des patients qui arrivent aux urgences. "L'annonce d'un diagnostic ou d'un [url=http://bdadda.net/index.php?do=/blog/48370/nike-air-jordan-pas-cher-le-retour-des-maladies-que-lon-croy/]nike air jordan pas cher Le retour des maladies que lon croy[/url] deuil peut être très mal vécue", [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] témoigne Mme Assez. Parfois aussi, pour des raisons culturelles, des familles entières désirent le patient dans ses derniers moments. Mais ces traditions se heurtent [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] aux règles de l'h?pital public qui autorise la présence d'une seule personne aux c?tés du malade. Et cette incompréhension génère des tensions. Dans [url=http://www.matsue-yado.com/otoku/clip.cgi]woolrich outlet Une équipe de[/url] la [url=http://www.agentparadise.com]woolrich sito ufficiale[/url] plupart des cas, "une bonne communication des règles en vigueur auprès des proches" permet de désamorcer ces situations, explique [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]louboutin[/url] Mme Assez.
, urgentiste au Samu [url=http://www.thehygienerevolution.com/hollister.php]hollister france[/url] régional [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] de Lille où elle a mené une sur le sujet. La plupart du temps purement verbale (insultes, menaces...), cette violence peut dégénérer, allant [url=http://test530.ddo.jp/CGI/epad_ff/bbs.cgi?res=57667]hollister Things The Internet[/url] de la simple bousculade aux coups de poing, voire, à la prise d'otages.
DIAGNOSTIC MAL V?CU
Pour le personnel à [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie milano[/url] gérer ce phénomène, des ateliers de sensibilisation sont notamment organisés dans le [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] cadre du de la Société fran?aise de d'urgence (4-6 juin 2008). "Il s'agit d' à repérer les signes précurseurs d'un passage à l'acte", explique Mme Assez. "Poings serrés", "agitation", "invectives", "allusions grivoises"... autant d'alertes à ne pas , selon elle, pour prévenir les manifestations de violence.
"L'urgence est l'interface entre la ville et l'h?pital", explique Mme Assez. Ouverte 24 heures sur 24, elle est un "lieu de vie qui subit l'évolution de la société de plus en plus violente et agressive". Inhérente à certaines psychiatriques et agitations psychotiques dues à la prise de médicaments ou , la violence y est parfois purement gratuite (vol de matériels, dégradations...).