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"Les infrastructures lourdes donnent une illusion de sécurité qui incite à dans des endroits dangereux et risquent elles-mêmes d' l'érosion et le dérèglement des écosystèmes", explique [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] Karen Sudmeier de [url=http://www.moncleroutletosterblade.com]moncler outlet[/url] l'université de Lausanne, experte auprès des Nations unies et de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). Pour la chercheuse, "les ceintures [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] vertes qui épongent les crues, les mangroves qui absorbent l'énergie des tempêtes et des vagues, les forêts qui stabilisent les sols offrent [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] une protection équivalente et procurent des bénéfices supplémentaires" : moyens de subsistance, meilleure qualité de l'air ou de l'eau et protection de la biodiversité.
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Surtout, cette solution est la moins co?teuse, insistent de nombreuses organisations internationales. Or il y a urgence à se prémunir contre les caprices du , avertit l'ONU. "Nous sommes dans un véhicule qui se dirige à une vitesse effrénée droit dans le mur. Nous devons agir", plaide Margareta Wahlstr?m, représentante spéciale du secrétaire général des Nations unies pour la réduction des risques de catastrophe.
les écosystèmes est plus s?r et moins cher que de des digues et des barrages [url=http://www.mnfruit.com/doudounemoncler.php]moncler[/url] contre les cyclones, les inondations ou les glissements de terrain. Ce sera l'une des le?ons répétées lors de la conférence internationale sur la réduction du risque de catastrophe organisée par les Nations unies, à Genève, du 10 au 13 mai.
"Il est très difficile, au sein de la communauté internationale, de de prévention", se désole Mme Sudmeier. Ce service écologique peut pourtant être considérable : aux Etats-Unis, la protection contre les tempêtes fournie par les zones humides c?tières, comme les marais de Louisiane, a été estimée à 23,2 milliards de dollars (16,2 milliards d'euros) par an.
De plus en plus d'expériences [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] l'indiquent : le recours aux espaces naturels commence à s' dans les esprits. Confrontée à un risque d'inondation, la ville de New York a décidé, en 2010, d' 5,3 milliards de dollars dans des espaces verts installés sur les toits, dans les rues et sur les trottoirs pour davantage d'eau de pluie, au lieu de dépenser 6,8 milliards de dollars en canalisations et en réservoirs. En Grande- comme dans les pays riverains du Danube, la restauration écologique des bassins versants et des berges des fleuves est devenue [url=http://www.m-and-g.com/cgi/joyful.cgi]air jordan pas cher Carol Bar[/url] une priorité de la stratégie de prévention des inondations.
"Les écosystèmes sont un rempart efficace contre les cyclones ou les inondations habituels, pas contre les événements extrêmes", tempère Mme Sudmeier. Contre les tsunamis qui ont ravagé l'océan [url=http://cta.scu.edu.cn/bbs/forum.php?mod=viewthread&tid=13710991&extra=]jordan pas cher Pas de deux sur un quai de Seine[/url] Indien en 2004 ou le le 11 mars, la nature n'offre pas plus de secours que les barrages érigés par l'homme.
Dans les pays du Sud, un autre modèle se dessine : celui de l'entretien des écosystèmes par les communautés locales, dans une démarche mêlant développement économique, par la diversification des moyens de subsistance, restauration écologique des milieux naturels et préparation aux catastrophes - [url=http://www.jordanpascherofficiele.com]air jordan[/url] dispositifs d'alerte, [url=http://www.moncleroutletosterblade.com]moncler[/url] formation aux premiers secours.
L'humanité se masse toujours davantage dans les zones les plus exposées aux aléas naturels, sur les c?tes, les berges des fleuves, souligne le rapport publié, mardi [url=http://www.jordanpascherofficiele.com]air jordan pas cher[/url] 10 mai, par la Stratégie internationale des Nations unies pour la réduction des catastrophes. "Soumis à d'énormes pressions économiques, les gouvernants prennent des décisions qui accroissent l'exposition aux risques naturels, alors que cela co?te au minimum quatre fois moins cher d'aménager en tenant compte du risque plut?t que de réparer les dég?ts", souligne Andrew Maskrey, l'auteur principal de ce rapport. L'absence d'évaluation monétaire des [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] rendus par les écosystèmes n' pas à la tendance.
"Les villageois connaissent les risques et les écosystèmes, mais ils n'ont pas les moyens d' ou sont accaparés par des priorités plus immédiates", explique Karen Sudmeier. A la frontière [url=http://park11.wakwak.com/~yda/cgi-bin/kokoa/keitaibbs/epad.cgi?mode=view&no=1106322&res=1&page=430]abercrombie Renaud Lavillenie[/url] du et du , l'UICN [url=http://www.louboumaterialistanyc.com]louboutin pas cher[/url] encourage les villages dévastés par des glissements de terrain à s' en microcommunautés de bassins versants. Au [url=http://www.mnfruit.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] , l'organisation aide des communautés rurales à les mangroves pour se protéger des tempêtes.