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Plus de trente après, les assassins de Marcelle [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]barbour online shop[/url] et de Yann jouissent encore impunément de leur liberté. A moins qu’eux-mêmes n’aient rejoint leur propre pierre tombale, sans pouvoir reposer en paix.

On aper?oit Marcelle une dernière fois le lendemain de son départ théorique de Corse. C’est un jour [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] férié et elle se rend à l’h?tel de police de Bastia pour s’enquérir d’un médecin et d’une pharmacie de garde. Marcelle Nicolas loue même une chambre en ville. Chose impensable, elle est seule. Ni les agents de police de permanence, ni le praticien ni l’h?telier n’ont vu Yann auprès d’elle, alors qu’ils ne se quittaient pas des yeux une seule minute. Avait-on enlevé son enfant pour faire pression sur elle [url=http://www.teatrodeoro.com/hollisterde.php]hollister[/url] ? A-t-elle vu quelque chose qu’elle n’aurait pas d? voir ?

La Corse est malheureusement une terre fertile en faits [url=http://www.365kl.net/home.php?mod=spacecp&ac=blog&blogid=]woolrich outlet Valberg la Fête de la raquette[/url] divers les plus spectaculaires. Mais celui du « cadavre [url=http://www.teatrodeoro.com/hollisterde.php]hollister deutschland[/url] sans tête » tient encore le haut du pavé plus de trente années après les faits, ceux de la double disparition de Marcelle Nicolas, une jeune infirmière bretonne et de Yann, son fils à peine ?gé de 8 ans. La tragédie, qui a connu un retentissement national, s’est jouée dans [url=http://www.shewyne.com/moncleroutlet.html]moncler sito ufficiale[/url] des circonstances tout à fait invraisemblables qui auraient fait courir des frissons dans l’échine d’Agatha Christie en personne…
La loi du silence...
La tache des [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie milano[/url] policiers, neuf ans après la double disparition, était compliquée car elle consistait à [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] reconstituer avec la [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie soldes[/url] plus grande minutie possible l’emploi du temps de Marcelle et de son fils, dans le Cap Corse, où elle séjournait dans un camp de vacances, mais aussi dans le sud de l’?le qu’elle avait visité en auto-stop. Selon ses proches, Marcelle était une femme sans histoire dont l’enfant était le seul et unique centre d’intérêt dans la vie. L’autopsie avait révélé de multiples fractures et de profondes lésions, comme si l’infirmière avait été broyée avant d’être décapitée à la scie électrique ! Les enquêteurs s’interrogent sur le degré de rage qui animait le ou les meurtriers. Ce qui est s?r, c’est que ces derniers ne pouvaient pas trouver [url=http://www.ylsddd.com/old/E_GuestBook.asp]hogan outl[/url] meilleure cachette qu’un tombeau. Par ailleurs, ils ont tout fait pour retarder une identification rapide, ce qui écartait d’emblée [url=http://www.shewyne.com/moncleroutlet.html]moncler outlet[/url] la thèse du crime de r?deur. La police croit tenir une piste sérieuse. En effet, le locataire d’un bungalow se souvient que le 25 ao?t 1979, date connue de la fin de ses vacances et de son retour sur le continent, l’infirmière a re?u la visite d’un homme « de [url=http://www.lbs.gov.cn/guestbook.asp]woolrich o[/url] grande taille, rouquin et barbu » mais il est vite établi qu’il s’agit d’un ami de Grenoble dépressif qui s’est suicidé peu après...
En décembre 1994, sur le plateau de l’émission de TF1, Témoin numéro 1, animée par Jacques Pradel, la famille vient supplier en sanglots les Corses de [url=http://www.jeremyparendt.com/Hollister-b5.php]hollister[/url] briser [url=http://www.jeremyparendt.com/Barbour-Paris.php]barbour pas cher soldes[/url] la loi du silence. En vain.
Le dossier, qui est passé depuis entre les mains de la gendarmerie, n’a jamais été refermé. Des fouilles de terrain, pour retrouver le corps de Yann et la tête de sa maman, n’ont [url=http://www.shewyne.com/hoganoutlet.html]hogan sito ufficiale[/url] rien donné. Pas plus que les gardes à vue des rares suspects que la police avait dans le collimateur. Ainsi, les pièces essentielles de ce puzzle sanglant font toujours défaut.
Corps broyé et décapité